Table-ronde proposée dans le cadre de la 6ème édition des journées numériques organisées par l'IGPDE et en partenariat avec le Ministère de la transition écologique pour cet évènement.
Consommation d’électricité et d’eau, artificialisation des sols pour la construction des centres de données, extraction, parfois au prix de sacrifices écologiques, des minerais et terres rares qui entrent dans la composition des puces et microprocesseurs… Pour ces raisons, l’empreinte environnementale de l’intelligence artificielle générative suscite des préoccupations croissantes.
Après avoir dressé le panorama et les perspectives d’évolution de ces impacts, cette table ronde s’attachera à examiner les actions et les mesures susceptibles d’aboutir à une intelligence artificielle plus sobre dans ses systèmes et plus frugale et ses usages.
Elle présentera enfin des cas d’usage dans lesquels l’IA démontre qu’elle peut aussi contribuer positivement à l’environnement en optimisant des processus industriels, agricoles ou logistiques.
Interviendront dans cette rencontre :
- Guillaume AVRIN, coordonnateur national pour l’intelligence artificielle, Direction générale des entreprises (DGE), ministères économiques et financiers
- William ELDIN, cofondateur et codirigeant de la société XXII, leader français de la vision par ordinateur grâce à une intelligence artificielle (IA)
- Juliette FROPIER, cheffe de projet Intelligence artificielle à l’Écolab du Commissariat général au développement durable (CGDD), ministère de la Transition écologique
- Fabienne TATOT, conseillère du Conseil économique, social et environnemental (CESE), corapporteure de l’avis « Impacts de l’intelligence artificielle : risques et opportunités pour l’environnement » de septembre 2024.
Animation : Frédéric SIMOTTEL, journaliste à BFM Business
Documentation
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